© Thomas Aurin

Endstation Amerika

FRANK CASTORF

Sous la plume et le regard clinique du subversif metteur en scène, Frank Castorf, le Tramway nommé désir s’arrête aujourd’hui au terminus du rêve américain. Tout le monde descend! Exit le mythe cinématographique! Ne subsistent qu’une trame et des personnages. Stanley, ancien militant de Solidarnosc, gagne sa vie en faisant de la publicité pour de la gomme à mâcher. Son mariage avec Stella s’installe dans le quotidien.

Détails

Ainsi va la vie. Jusqu’à l’arrivée de Blanche, par qui le scandale arrive. Dans ce spectacle mené à train d’enfer dans une ambiance rock, se côtoient l’illusion, le désenchantement, la dépression, la décadence. En s’inspirant librement de l’œuvre de Tennessee Williams, Castorf agit en redoutable séismographe de la société.

Crédits

BASÉE SUR L’ŒUVRE DE
TENNESSEE WILLIAMS

MISE EN SCÈNE
FRANK CASTORF

COPRODUCTION
SALZBURGER FESTSPIELE