Archive

L’asile de la pureté

CLAUDE GAUVREAU, LORRAINE PINTAL

Avec onze comédiens, une équipe de concepteurs et un choeur de vingt personnes, Lorraine Pintal s’installe à l’hôpital Louis-H. Lafontaine afin d’explorer les différentes facettes de l’Asile de la pureté, pièce écrite en 1953 par le poète Claude Gauvreau. L’occupation d’espace sera commandée par l’architecture de ce lieu d’internemen : de l’infiniment grand (la rue arpentée par le cortège funèbre et le cercueil de la muse, Edith Luel ) à l’infiniment petit (la chambre du jeûne de Marcassilar), la parade des bouffons du pouvoir autour du grabat des contestataires prendra des allures de cirque noir.

Détails

Dans un dispositif à trois faces et à travers un parcours déambulatoire, les spectateurs participeront à une lecture dramatisée différente de soir en soir car, pour révéler les mystères du monde étrange des songes, l’ouverture et la liberté du jeu improvisé seront de rigueur. Une invitation à faire partie intégrante d’un spectacle en cours d’élaboration et du rituel de mise à mort de Donatien Marcassilar, double de l’auteur, défendu par Marc Béland.

Crédits

TEXTE
CLAUDE GAUVREAU

MISE EN SCÈNE
LORRAINE PINTAL

ASSISTANCE À LA MISE EN SCÈNE
CLAUDE LEMELIN

SCÉNOGRAPHIE
DANIÈLE LÉVESQUE

COSTUMES
MARIE-CHANTALE VAILLANCOURT

ÉCLAIRAGES
MICHEL BEAULIEU

MUSIQUE
WALTER BOUDREAU

CHORÉGRAPHIES
ESTELLE CLARETON

MAQUILLAGES
JACQUES LEE PELLETIER

DISTRIBUTION
CARL BÉCHARD
MARC BÉLAND
ANNIE BERTHIAUME
VINCENT BILODEAU
ESTELLE CLARETON
BRIGITTE LAFLEUR
ALEXIS MARTIN