© Ricardo Otero

Mil quinientos metros sobre el nivel de Jack

FEDERICO LEÒ

Dans une salle de bain, reconstituée dans le menu détail, une mère en maillot de bain et un fils en costume de plongée. Assis dans une baignoire remplie d’eau, ils conversent. Une télévision allumée, qui ne capte aucune image, ajoute un élément de plus dans ce tableau parfaitement surréaliste. Le texte par allusions, mots couverts mais entendus, fait référence au père disparu au fond de la mer, à la vie qui coule de partout, en vase clos.

Détails

L’entrée en jeu de deux autres personnages, une jeune femme et son jeune fils dont l’histoire ressemble à la leur, déclenche un jeu de rôles aux dessins imprévisibles et fascinants. Les personnages sont dans une autre logique, une autre objectivité. Primaire et symbolique. Désirs d’une proximité qui respire. Entre les acteurs et les spectateurs, l’enjeu est le même.

Crédits

TEXTE ET MISE EN SCÈNE : FEDERICO LEÒN
COPRODUCTEUR : TEATRO SAN MARTÍN