La chambre des enfants

C’est en dialogue avec la conceptrice d’éclairages Nancy Bussières que naissent les atmosphères sophistiquées du collectif. 

Leur écriture scénique commune, où son, jeu, lumière et musique se conjuguent dès le départ, constitue un théâtre de recherche unique dans le paysage québécois et canadien. De leur collaboration résultent des œuvres architecturées par une dramaturgie sonore porteuse, telles que les installations Le son de l’ère est froid, recréation sensible d’une cabane de pêche ; La nébuleuse, parcours théâtral intime sous casque d’écoute ; et la plus récente, Solarium, orchestre formé de plantes vertes. Depuis ses débuts, le trio s’intéresse au travail avec des personnes non actrices et poursuit une exploration sur les différents âges de la vie en rassemblant des interprètes de tous horizons. Cette ligne directrice s’amorce avec Impatience (2013), pièce sur l’adolescence avec des adolescent·e·s en scène, présentée notamment à l’Usine C, à Mons en Belgique, et au Théâtre français du Centre national des arts à Ottawa. Dans Nous voilà rendus (2017), la compagnie invite au plateau des personnes âgées habitant pour certaines un Centre d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD), où s’ancrera la démarche théâtrale. En mettant en scène des jeunes dans White Out et La chambre des enfants, L’eau du bain pousse sa quête d’un art au plus près du vivant.

Fondée en 2008, L’eau du bain développe des dispositifs scéniques pour y déployer ses installations et ses créations théâtrales à l’intention des adultes ou des enfants.

Leur écriture scénique commune, où son, jeu, lumière et musique se conjuguent dès le départ, constitue un théâtre de recherche unique dans le paysage québécois et canadien. De leur collaboration résultent des œuvres architecturées par une dramaturgie sonore porteuse, telles que les installations Le son de l’ère est froid, recréation sensible d’une cabane de pêche ; La nébuleuse, parcours théâtral intime sous casque d’écoute ; et la plus récente, Solarium, orchestre formé de plantes vertes. Depuis ses débuts, le trio s’intéresse au travail avec des personnes non actrices et poursuit une exploration sur les différents âges de la vie en rassemblant des interprètes de tous horizons. Cette ligne directrice s’amorce avec Impatience (2013), pièce sur l’adolescence avec des adolescent·e·s en scène, présentée notamment à l’Usine C, à Mons en Belgique, et au Théâtre français du Centre national des arts à Ottawa. Dans Nous voilà rendus (2017), la compagnie invite au plateau des personnes âgées habitant pour certaines un Centre d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD), où s’ancrera la démarche théâtrale. En mettant en scène des jeunes dans White Out et La chambre des enfants, L’eau du bain pousse sa quête d’un art au plus près du vivant.

Depuis ses débuts, la conception sonore joue un rôle prépondérant dans les projets du collectif. 

Leur écriture scénique commune, où son, jeu, lumière et musique se conjuguent dès le départ, constitue un théâtre de recherche unique dans le paysage québécois et canadien. De leur collaboration résultent des œuvres architecturées par une dramaturgie sonore porteuse, telles que les installations Le son de l’ère est froid, recréation sensible d’une cabane de pêche ; La nébuleuse, parcours théâtral intime sous casque d’écoute ; et la plus récente, Solarium, orchestre formé de plantes vertes. Depuis ses débuts, le trio s’intéresse au travail avec des personnes non actrices et poursuit une exploration sur les différents âges de la vie en rassemblant des interprètes de tous horizons. Cette ligne directrice s’amorce avec Impatience (2013), pièce sur l’adolescence avec des adolescent·e·s en scène, présentée notamment à l’Usine C, à Mons en Belgique, et au Théâtre français du Centre national des arts à Ottawa. Dans Nous voilà rendus (2017), la compagnie invite au plateau des personnes âgées habitant pour certaines un Centre d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD), où s’ancrera la démarche théâtrale. En mettant en scène des jeunes dans White Out et La chambre des enfants, L’eau du bain pousse sa quête d’un art au plus près du vivant