© Andrée-Anne Blouin

Les apatrides

MARC DUMESNIL | THÉÂTRE I.N.K.

Comment faire une femme de soi? Comment s’élever toute seule quand on parle huit huitièmes de langue et pas une seule au complet, quand on n’a jamais été quelqu’un pour personne? Elle, c’est son nom, part dans la vie avec des espoirs pleins ses poches crevées et rencontre sur sa route des sans le sou, des sans domicile, des sans amour, des sans patrie. Au bout du chemin : l’adulterie, une possible victoire sur l’exil, l’espoir d’une renaissance. Auteure et principale interprète de cette épopée fantaisiste, de cette fable tendre et grave sur l’enfance, Marilyn Perreault déploie une folle floraison de mots, propose un théâtre au verbe et au corps acrobatiques, signe un parcours initiatique qui va du clownesque à l’existentiel, du balbutiant au déchirant, du jeu de maux au bord du gouffre. Il y eut les Atrides, voici les Apatrides, des sans famille en émergence hors de l’enfance.

Détails

Auteure et principale interprète de cette épopée fantaisiste, de cette fable tendre et grave sur l’enfance, Marilyn Perreault déploie une folle floraison de mots, propose un théâtre au verbe et au corps acrobatiques, signe un parcours initiatique qui va du clownesque à l’existentiel, du balbutiant au déchirant, du jeu de maux au bord du gouffre. Il y eut les Atrides, voici les Apatrides, des sans famille en émergence hors de l’enfance.

Crédits

TEXTE
MARILYN PERREAULT

MISE EN SCÈNE
MARC DUMESNIL

LUMIÈRE
MARTIN GAGNÉ

SCÉNOGRAPHIE
ÉMILIE PRENOVEAU

COSTUMES
MARIE-SOLEIL LAVOIE

ENVIRONNEMENT SONORE
MARC DUMESNIL

DISTRIBUTION
STÉPHANE BELLAVANCE
MARC MAUDUIT
MARILYN PERREAULT
ANNIE RANGER

CE SPECTACLE BÉNÉFICIE D’UNE RÉSIDENCE AU THÉÂTRE DE LA VILLE