© Normand Bastien

Ne blâmez jamais les Bédouins

Où peut-on trouver sur un même plateau: un monstre hideux et myope, une cantatrice italienne ficelée à une voie ferrée, un jeune Teuton, deux trains militaires fonçant l’un vers l’autre, un petit Québécois premier de classe, des hélicoptères un éventail de percussions et un seul comédien, le tout au beau milieu du désert australien? Dans NE BLÂMEZ JAMAIS LES BÉDOUINS.

Détails

Ce spectacle-solo a révélé une écriture nouvelle, un dramaturge parmi les plus brillants du courant post-nationaliste du théâtre québécois. René-Daniel Dubois nous paie le luxe d’une performance d’acteur éblouissante où en une heure et demie sans entracte, il tient vingt-deux rôles différents. Le délire à portée de scène: NE BLÂMEZ JAMAIS LES BÉDOUINS.

Crédits

Spectacle de René-Daniel Dubois
Mise en scène: Joseph Saint-Gelais