Party Lots of Love

Soigneusement organisé et commissarié par Sasha Kleinplatz, Liliane Moussa, Émile Pineault et Sarah Williams depuis 2021, le festival présente une série de performances créées pour des espaces atypiques, comme des cours arrière, des garages, des stationnements et des parcs. Caractérisé par la carte blanche donnée aux artistes et la promotion de la confiance radicale au sein de la communauté, le festival amplifie et rassemble les voix d’artistes de divers milieux et générations. Cette année, LOL prend une pause et se concentre sur une soirée de performance ainsi qu’un party défiant les normes.

Il a fait le tour du monde comme chorégraphe et DJ à l’occasion d’événements internationaux d’art et de performance. Il a notamment créé des moments d’abandon queer sans honte et de drames euphoriques sur la piste de danse. Il a participé au FTA 2022 avec sa performance subversive Make Banana Cry, et a été nommé comme l’une des 50 personnes de moins de 50 ans qui façonnent le monde de demain par l’Université Concordia.

Elle fait partie de la distribution de la comédie musicale Tootsie à l’Espace St-Denis et de la pièce de théâtre Marguerite : le feu d’Émilie Monnet, présentée au festival d’Avignon en France en 2023. En parallèle à sa carrière d’interprète, Catherine est chorégraphe et enseignante en danse en plus de travailler pour le secteur culturel de sa communauté à Wendake.

Diplômé du programme de danse contemporaine de l’Université Concordia, il a étudié auprès d’enseignant·e·s de renom tel·le·s Angélique Willkie, Daniel Villeneuve et Isabelle Poirier. Sa fascination pour la fusion de différentes pratiques l’a conduit à participer à des œuvres comme INNERVISION (Martin Messier) et UNDERWATER (Caroline Laurin-Beaucage). À travers le mouvement et l’échange, il s’efforce à trouver un soi authentique.

Artiste évoluant dans la sphère de la danse contemporaine montréalaise, Jossua Satinée cherche à traverser l’univers pour partager des moments de joie, de beauté, de réflexion et de diversité. La collaboration et le partage humain est une grande motivation de création.

Depuis 2015 elle vit et travaille à Montréal où elle a cofondé le collectif Vâtchik Danse avec Kiasa Nazeran, dramaturge, chercheur et interprète. Leurs créations, inspirées de l’art et l’histoire socio-politique de l’Iran, des questionnements politiques actuels et de l’esthétique expressionniste allemande, incluent : Moi-Me-Man (2017), La Chute (2019), L’Inconsistance (2024).

Depuis 2020, Peng développe une dramaturgie pour des corps qui agissent depuis le «Broke Broke Recitation» ou «BBR», qui est sa traduction d’une expression utilisée à Taïwan pour décrire comment les femmes parlent TOUJOURS et SANS ARRÊT des banalités quotidiennes. Elle a obtenu son MFA en mise en scène à CalArts, et travaille maintenant sur son doctorat en sciences humaines, axe recherche-création, à l’Université Concordia.

Mycelium est un sexpot transsexuel dévoué aux fées avec un sombre passé de theater kid. Ça joue dans le cheap art de basse-cour indisciplinaire, avec un enthousiasme particulier pour les marionnettes, les micros à fil et la magie.