© Yves Dubé
Si j’avais la seule possession dessus le jugement dernier
Un marin avec une huître à la place du coeur, un diable à l’accent français, une pendue qui parle, une langue inspirée du cajun louisianais, une logique dramatique éclatée: voilà la pièce étonnante et forte d’un nouvel auteur, très bien servie par la mise en scène débridée de Jean-Frédéric Messier.
Crédits
Théâtre d’Aujourd’hui / Cercle Vicieux / Momentum Texte de Érik Charpentier Mise en scène de Jean-Frédéric Messier