L’amour décolonial
Qu’est-ce donc que l’amour décolonial — cet amour de soi et de l’autre au potentiel révolutionnaire ?
Peut-on (re)penser l’amour et l’intimité à l’extérieur des structures oppressantes du colonialisme, du racisme, du sexisme et du capitalisme ? Qu’est-ce donc que l’amour décolonial — cet amour de soi et de l’autre au potentiel révolutionnaire ? Inspirée par Neecheemus d’Émilie Monnet et les écrits de Leanne Betasamosake Simpson, l’autrice et journaliste wendate Véronik Picard anime une conversation intime et politique avec trois femmes, artistes, militantes et penseuses.
Animation Véronik Picard
Avec Carole Karemera + Émilie Monnet + Amel Zaazaa
Véronik Picard (Montréal)
Véronik Picard est originaire de la communauté de Wendake et habite maintenant à Tiohtià:ke/Mooniyaang/Montréal. Diplômée d’un baccalauréat en études internationales et langues modernes, Véronik Picard cumule plusieurs années d’expériences tant dans le milieu autochtone canadien que dans l’univers journalistique et médiatique québécois.
Émilie Monnet (Montréal)
Au croisement du théâtre, de la performance et du son, le travail d’Émilie Monnet est le plus souvent présenté sous forme de théâtre interdisciplinaire ou d’installations performatives.
Amel Zaazaa (Montréal)
Amel Zaazaa est autrice, conférencière et formatrice. Elle a d’abord travaillé pendant plus de 15 ans en communications et en stratégie politique, auprès de plusieurs institutions culturelles gouvernementales et communautaires.
Carole Karemera (Kigali)
Activiste et militante en faveur de la liberté d’expression créative en Afrique, Carole Karemera est une artiste polyvalente avec plus de 25 ans d’expérience dans les domaines des arts de la scène et du cinéma. Elle a cofondé et dirige le Ishyo Arts Centre, basé à Kigali au Rwanda, une organisation impliquée depuis 16 ans dans la création et la production d’œuvres artistiques, la formation et le renforcement des capacités des acteurs du secteur culturel, les politiques culturelles au Rwanda et dans la sous-région.