24 images : Explorations chorégraphiques au cinéma

Jalonné d’œuvres mythiques et de collaborations scintillantes avec des artistes tels que David Bowie et Frank Zappa, son travail complice avec Édouard Lock provoque une onde de choc dans l’univers de la danse. Après une fulgurante carrière d’interprète, elle fonde la compagnie Fou glorieux en 2006 pour aborder la création chorégraphique. Elle poursuit en solo ou en duo une recherche autant physique que psychique, fondée sur la virtuosité, le dépassement de soi et la prise de risque. Elle a présenté plusieurs de ses créations au FTA dont Stations (2020), Mille batailles (2016) et So Blue (2013).

Durant près de dix ans, les recherches universitaires de Charlotte Dronier ont principalement porté sur la danse pour les écrans à travers les notions de présence et d’aura. Souhaitant prendre soin des interprètes et non plus seulement les contempler, elle devient alors massothérapeute, poursuivant sa compréhension des multiples dimensions psychocorporelles en écho à son propre mouvement.

Suite à un parcours d’interprète (l’École Nationale de Ballet du Canada, Ottawa Ballet, le Ballet National du Portugal et Les Grands Ballets Canadiens), Louis-Martin fonde en 2005 LIBERAMÆ performance & films, voué à l’avancement de la cinédanse et des arts vivants. Ses œuvres racontent l’être humain dans sa quête vers l’authenticité en révélant et provoquant la connexion à soi. Soucieux de transmettre aux prochaines générations d’artistes, il enseigne le jeu pour danseur à travers l’improvisation. Il vit à Montréal avec sa famille.

De 2011 à 2021, il a également travaillé aux RIDM (Rencontres internationales du documentaire de Montréal), d’abord comme programmateur puis comme directeur artistique. De 2007 à 2015, il a enseigné le cinéma et a travaillé comme producteur associé sur des séries documentaires.